mardi 1 décembre 2009

LA SPIRITUALIÉ D'ALEXANDRINA

Notre collaboratrice, Paulette Leblanc, vient de terminer un très intéressant travail sur la bienheureuse Alexandrina de Balasar.

Étant donné l’importance de cet écrit, nous sommes heureux de vous le faire partager. Cela se fera petit à petit, car il est assez long.

Nous serions heureux de connaître vos réactions à cette recherche sur la spiritualité de la “Petite Sainte de Balasar”.

LA SPIRITUALITÉ D'ALEXANDRINA
1904-1955


INTRODUCTION


Alexandrina Maria da Costa naquit le 30 mars 1904, un mercredi saint, à Balasar, petit village situé dans le nord du Portugal, dans le district de Porto, archidiocèse de Braga. Ce petit village semble avoir été fortement marqué par la Croix. En effet, en 1832, apparaissait, devant l’église paroissiale, une croix mystérieuse, qui fut vite protégée par une chapelle dédiée, comme il se doit, à la Sainte Croix. Cent ans plus tard, vers 1932, dans le lieu-dit Calvario (Calvaire), le Seigneur se choisissait une confidente privilégiée en la personne d’Alexandrina Maria dont la vie sera un long calvaire.

Nous savons qu'Alexandrina fit très peu d'études, et qu'à l'âge de neuf ans elle travaillait déjà dans les champs, avant d'être placée comme aide-ménagère. Vers l'âge de douze ans Alexandrina, déjà très malade recevait les derniers sacrements. Le jour du Samedi Saint 1918, tandis qu'avec sa sœur et une amie elle faisait de la couture, afin d'éviter la violence de trois hommes qui étaient entrés dans la maison, Alexandrina sauta par la fenêtre du premier étage. Cette chute occasionna une paralysie progressive. En 1925 elle s'alitait définitivement.

Alexandrina pria beaucoup pour sa guérison, mais le Seigneur avait sur elle d'autres vues. Vers 1930 elle s'offrait à Dieu, en victime, pour le salut des âmes. En 1932 elle composa un hymne en l'honneur des tabernacles. C'est à cette époque que les premiers phénomènes mystiques apparurent.

Si nous avons rappelé ici, dans cette courte introduction, les premiers évènements marquants de la vie d'Alexandrina, c'est que nous voulons montrer qu'il est impossible de comprendre la spiritualité d'Alexandrina sans se référer à chaque instant, à la Croix de Jésus. Toute la vie d'Alexandrina, toute sa spiritualité, toutes ses vertus sont fondées sur la Croix du Seigneur.

NOTA: Les textes en italique sont extraits soit de ses écrits autobiographiques soit de ses lettres, notamment au Père Pinho, Jésuite, ou au Père Umberto Maria Pasquale, salésien.

Paulette Leblanc

jeudi 15 octobre 2009

DEUX NOUVEAUX LIVRES

Sur la bienheureuse Alexandrina de Balasar

Les deux livres sur la bienheureuse Alexandrina de Balasar, que nous annoncions en mai dernier, sont dès à présent en vente sur Internet.

Leur prix de vente est assez raisonnable, afin de permettre à chacun de vous de les obtenir, rapidement, car il n’en existe que 1.000 de chaque titre.

L’essai biographique “Alexandrina de Balasar”, écrit par Paulette Leblanc, est au prix de 8 Euros.

La biographie – écrite par le Père Mariano Pinho sj, premier Directeur spirituel de la Bienheureuse, – et traduite en français – a pour titre “Une victime de l’Eucharistie” et est vendu 14 Euros.

Les frais de poste, pour l’envoi des deux livres se montent à 5,50 Euros.

Comment les obtenir ?

Cliquez ICI et vous serez renvoyé là où vous pouvez obtenir tous les renseignements utiles.

mercredi 10 juin 2009

STATISTIQUES MAI 2009

Chers visiteurs,

Vous êtes de plus en plus nombreux à visiter le site de la bienheureuse Alexandrina de Balasar et nous vous en remercions.
Les statistiques du mois de mai sont encourageantes et nous stimulent à mieux encore travailler pour vous remercier de votre fidélité.
Il n’est pas toujours possible d’inover, vous vous en doutez, mais nous faisons de notre mieux pour vous proposer de nouveaux textes chaque mois ; qu’il s’agissent d’articles sur la Bienheureuse ou qu’il s’agisse encore de nouvelles biographies pour “alimenter” notre martyrologe qui, sans aucun doute, l’un des plus complets sur Internet.

Quand nous consultons les statistiques de mai dernier, nous nous apercevons que le site a été visité par des Internautes de 72 pays, ce qui est simplement excellent.

En tête du “Top 10” que nous avons inauguré, nous trouvons la France, avec ses 48,08% de visiteurs, suivie du Portugal qui compte 17,61% et ensuite le Brésil qui totalise 12,90%.
Nous dirons que cela nous semble normal, pour ce deux derniers pays, car Alexandrina est née au Portugal et que le Brésil est aussi un pays lusophone.
Les Etats-Unis avec 8,40% occupent la 4e place et, cela aussi est compréhensible, car beaucoup de lusitaniens y vivent, surtout en Californie.
Par contre, cela nous étonne que l’Angleterre ferme la marche avec seulement 0,65% de visiteurs. Il est vrai que les textes anglais n’y sont pas nombreux, ce qui explique peut-être cela…
Après les Etats-Unis, nous trouvons le Canada et la Belgique avec respectivement 3,20 et 2,67% de visiteurs à leur actif.
Pour résumer, notre site à été visité par 5965 internautes, lesquels ont consulté 11319 pages.
Une fois encore, merci à vous !
Continuez de nous être fidèles et nous ferons de notre mieux pour répondre à vos attentes.

Le Webmaster.

mercredi 6 mai 2009

LIVRES SUR ALEXANDRINA

Chers amis de la Bienheureuse Alexandrina,

Voici une bonne nouvelle qui réjouir un grand nombre parmi vous :
L’Association “Alex-Diffusion” dont le but est celui de faire connaître la bienheureuse Alexandrina de Balasar, a reçu, de la part de l’un de ses membres, un don très important qui va lui permettre de faire imprimer deux biographies de la Bienheureuse.
La première est l’œuvre du Père Mariano Pinho, sj, premier Directeur spirituel d’Alexandrina et a pour titre :

UNE VICTIME DE L’EUCHARISTIE (208 pages)

La deuxième biographie, beaucoup plus réduite (100 pages), écrite par l’une de nos collaboratrices, Paulette Leblanc, a pour titre :

ALEXANDRINA DE BALASAR (100 pages)

Nous pensons que ces ouvrages seront sortis des presses vers le mois de septembre prochain et vous seront proposés à des prix très intéressants, prix que nous vous communiqueront dans les prochains mois, après avoir fait le point des dépenses engagées.
Nous espérons que vous serez nombreux à les commander, car il n’y aura, dans un premier temps, que 1 000 exemplaires de chaque (nos finances ne nous permettent pas d’aller au-delà).
Si vous souhaitez réserver dès maintenant (sachant que le plus cher ne dépassera pas 15€), vous pouvez le faire auprès de notre partenaire, à l’adresse ci-après, sachant toutefois qu’aucune livraison ne pourra être faite avant fin septembre. Nous tenons à le préciser pour éviter tout mal entendu.


Faisons connaître Alexandrina et elle nous fera connaître, elle aussi, auprès de son céleste époux : Jésus.

samedi 2 mai 2009

BONNE NOUVELLE

Reliques de sainte Marguerite-Marie Alacoque

Le compte-rendu de ce qui s’est passé à Balasar occupe la UNE de la première page du journal “Diário do Minho” d’aujourd’hui (26 avril) sous le titre : “Nombre croissant de dévots exige un nouveau temple à Balasar”.
Regardons quelques-unes des informations que le journaliste nous livre :
“Récemment fut inaugurée un chemin de croix sur le terrain contigu au centre pastoral, avec une particularité : chaque station est ornée d’une croix dans laquelle est incrustée un morceau de pierre provenant du palais du grand-prêtre Anne, contemporain de Jésus”.
“Il a été créé un espace de rencontre pour les malades et les personnes âgées. L’animation du groupe a été confiée à Rita Martins, technicienne en animation sociale”.
“Entretemps, est en cours la constitution de la Fondation Alexandrina de Balasar, une entité qui va gérer tout ce qui a trait à la cause de la Bienheureuse”.
Mérite toute notre attention la nouvelle selon laquelle les reliques de sainte Marguerite-Marie Alacoque, qui vont être exposées à Braga en mai prochain, dans le Monastère de la Visitation, et iront ensuite dans la Basilique du Sacré-Cœur à Póvoa de Varzim, resteront le 14 juin quelques moments à Balasar.
Pendant le mois de mars, le Site officiel a reçu des visiteurs provenant de 102 pays.

dimanche 19 avril 2009

V ANNIVERSAIRE DE LA BEATIFICATION

Cinq années déjà !...
Le programme
***
Le 25 avril prochain sera célébré à Balasar, comme il se doit, le 5e anniversaire de la béatification d’Alexandrina Maria da Costa, cette âme-victime portugaise qui est à l’origine de la consécration du monde au Cœur Immaculé de Marie, en 1942, par le Pape Pie XII.
En la béatifiant le 25 avril 1974, place Saint-Pierre, le serviteur de Dieu, Jean-Paul II a procuré à tous les portugais une immense joie, car ils attendaient ce moment depuis déjà quelques années.
En effet, pour la majorité des lusitaniens, Alexandrina est le symbole même de l’amour, cet amour qui est capable de faire se mouvoir les montagnes ; cet amour qui, allié à la souffrance librement acceptée pour l’amour de Dieu, sauve les âmes, leur procurant ainsi les joies éternelles de la béatitude.
Alexandrina a aimé, souffert et réparé, comme le lui a demandé le Seigneur en 1932, lorsque récitant la belle et extraordinaire prière aux Tabernacles, elle se sentait léviter, remplie qu’elle était de l’amour et de la grâce divine.
Ayons recours à elle dans nos “bobos” de chaque jour et prions le Seigneur qu’Il hâte l’heure de sa glorification totale, c’est-à-dire, la canonisation.

lundi 30 mars 2009

MEDITER LA PASSION I

... avec Alexandrina
Introduction

Les textes sur la Passion du Seigneur sont très nombreux dans les écrits de la bienheureuse Alexandrina : elle l’a vécue dans sa chair de manière visible tout d’abord jusqu’en 1942, puis, jusqu’à sa mort de manière cachée, à l’abri des regards des nombreux “pèlerins” « qui du Portugal ou de l’étranger venaient nombreux la visiter » dans son humble chambrette, et qu’elle « accueillait, toujours souriante et avec une admirable bonté », et auxquels encore, elle prodiguait volontiers un enseignement simple mais riche de vérités évangéliques…
Il fallait donc faire un choix, choix qui n’a pas été simple, étant donné le matériel dont je disposais, qu’il s’agisse des “Sentiments de l’âme”, du “Journal spirituel“ ou des “Lettres“ envoyées à ses deux Directeurs spirituels, les Pères Mariano Pinho, sj et Umberto Maria Pasquale, sdb.
Pour ne pas surcharger ce texte de notes de fin de page, j’ai décidé de ne pas y inclure les dates et les titres des documents auxquels ils sont empruntés, et qui peuvent être consultés, pour la plupart, dans les documents déjà publiés ici, que ce soit en portugais, français ou italien.
Il faut dire ici que la bienheureuse Alexandrina était, ce que l’on peut appeler dans le langage mystique une « âme-victime ».
Mais, qu’est-ce donc qu’une âme-victime ?
« Les âmes-victimes – il en existe un grand nombre de par le monde – sont des âmes choisies d’une façon spéciale par le ciel, par la Trinité divine, dont elles deviennent filles et épouses à un degré sublime ; ce sont les âmes les plus aimées du Père, les plus intimement unies au Fils et au Saint-Esprit.
Ce sont les âmes qui, généreusement, souvent héroïquement, font don de leur vie humaine à Dieu, subordonnant toute leur vie à la volonté divine, ne voulant que ce que Dieu veut d’elles, ne désirant que Dieu, vrai, unique, grand bien, Alpha et Oméga de tout et de tous, s’offrant et s’immolant elles-mêmes, par amour pour Dieu, Bien suprême, raison et but de la vie, pour réparer leurs offenses et celles d’autrui.
Les âmes-victimes sont des âmes privilégiées qui demandent non seulement de pouvoir suivre le Christ, en conformité avec sa parole : “Que celui qui veut venir après Moi se renonce lui-même, qu’il prenne sa Croix et me suive”; elles ne se contentent pas seulement de suivre le Christ sur la voie du Calvaire, elles montent avec Lui sur la Croix ».

Voilà qui est claire et nous aide à mieux comprendre le vécu d’Alexandrina, son attirance pour Dieu et pour la Passion du Seigneur.
Et maintenant, un hommage personnel – que j’ai déjà écrit ailleurs – à celle que familièrement j’appelle « ma petite sœur du ciel » et à qui je dois tant :
« Alexandrina Maria est pour moi ce qu'est l'eau pour les plantes ; elle est le pont qui me permet de traverser le torrent impétueux ; elle est mon rayon de soleil, mon directeur spirituel invisible...
Je ne savais pas qu'il était possible de vivre un amour aussi doux, aussi merveilleux; un amour qui n'a rien à voir avec l'amour que l'on porte à son épouse, à ses enfants, à ses parents... mais un amour qui affermit tous les autres et qui vous donne des ailes en ce qui concerne l'amour de Dieu !... »
Avec le Père Pasquale, il est possible de dire ici, à la lecture de ces textes simples, qu’il n’est « pas difficile de démontrer comment les saints – tout comme Alexandrina – sont, en réalité, les découvreurs du Christ et nous révèlent sa resplendissante beauté et son infinie miséricorde ».
Toujours, avec le même Père, je peux dire, en guise de conclusion : « Quand nous découvrons un saint, nous sommes toujours portés par le désir de mieux le connaître, de l'entendre parler et, de lui parler ».
Veuille le Seigneur qu’il en soit ainsi, car suivre les pas d’Alexandrina c’est suivre les pas de Jésus, c’est aller droit vers le bonheur suprême : Dieu.

dimanche 29 mars 2009

ANNIVERSAIRE

L'ANNIVERSAIRE D'ALEXANDRINA



La bienheureuse Alexandrina Maria da Costa est née le 30 mars 1904, à Gresufes, lieu-dit de Balasar.
Nous ne saurions laisser passer cette date sous silence et lui souhaitons de tout cœur un 105e anniversaire au Ciel.




Sur la photo, nous pouvons voir sa mère, Ana da Costa et le crucifix qui se trouve à côté de son lit. Ce fut ce crucifix que le malin lui déroba et qui resta introuvable pendant bien longtemps. Il fut retrouvé en plein milieu du jardin de la maison familiale.

jeudi 12 mars 2009

VIA CRUCIS I

Dans le précédent message, la bienheureuse Alexandrina, commençait son journal spirituel du jour par ces mots:
"Les ténèbres à Géthsémani étaient accablantes. Toutes les souffrances étaient épouvantables. Les péchés du monde étaient le pressoir le plus dur qui serrait mon cœur et le vôtre. C’était le péché, seulement le péché qui causait toutes ces souffrances ; c’était le péché qui éloignait de moi le Ciel, me laissant dans plus grand abandon, m’obligeait à suer du sang. Ce fut le péché, uniquement le péché, qui fut le bourreau de toute votre Passion. Combien je vous dois, mon bon Jésus, d’avoir souffert pour moi et de m’associer à vous !"

Pour mieux comprendre ces "ténèbres de Gethsémani" dont elle parle, nous pensons qu'un extrait du filme de Franco Zeffirelli, est plus à même de nous aider tous à mieux comprendre le prix de notre salut... Et, cela ne fait que commencer!...
* * *

vendredi 27 février 2009

TENEBRES A GETHSEMANI

Le péché éloignait de moi le Ciel


Les ténèbres à Gethsémani étaient accablantes. Toutes les souffrances étaient épouvantables. Les péchés du monde étaient le pressoir le plus dur qui serrait mon cœur et le vôtre. C’était le péché, seulement le péché qui causait toutes ces souffrances ; c’était le péché qui éloignait de moi le Ciel, me laissant dans plus grand abandon, m’obligeait à suer du sang. Ce fut le péché, uniquement le péché, qui fut le bourreau de toute votre Passion. Combien je vous dois, mon bon Jésus, d’avoir souffert pour moi et de m’associer à vous !
Je ne pouvais déjà plus résister, mais votre divine voix m’a dit tout bas :
― “Tu as, mas fille, toujours devant tes yeux, l’amour de ton Jésus!”
O mon Amour, je sens disparaître de jour en jour, à chaque moment, les forces de mon corps et de mon âme ! Ce n’est qu’en vous ayant crucifié en moi que je pourrai vaincre. Je ne vis déjà plus, car tout en moi est mort.
J’ai été flagellée et couronnée d’épines, puis je me suis reposée dans votre divin Cœur ; je le serrais très fort contre le mien : m’y accrocher pour toujours et ne jamais m’en séparer était mon plus grand désir. Il y eut de courts moments ou vos avez laisser tomber votre grâce sur moi et quelques rayons de votre Amour ont réchauffé mon cœur.
Quand je me suis reposée auprès de la Petite Maman du Ciel, ses très saintes lèvres s’unissaient aux miennes pendant tout le temps de mon repos. Ce ne sont pas là des consolations, mon Jésus, vous savez bien que tout cela a disparu pour moi, ce sont des aides que vous me procurez, sans lesquelles ma crucifixion serait impossible.
Je suis partie vers le calvaire : à chaque pas je tombais à terre, presque mourante. Lorsque j’ai été clouée en croix, comme des fontaines le sang coulait de mes plaies. Les insultes que j’entendais tailladaient tout mon corps. La souffrance faisait battre tellement mon cœur que j’avais l’impression que ma poitrine allait s’ouvrir. Vous appeler au secours, crier vers le Ciel, tout cela était inutile. Autour de moi tout était ténèbres et abandon, seul me restait une agonie mortelle.
O mon Jésus, la crucifixion est terminée, la nuit est déjà bien avancée et, en haut du calvaire je reste les bras ouverts, clouée à la croix, dans la nuit la plus triste, en criant toujours : “O Ciel, ô Ciel, ô Ciel, pourquoi m’as-tu abandonnée ? O terre qui me méprises et me haïs !”
Mon cri se perd dans un monde d’abandon ; l’écho de ma voix se perds dans un monde sans fin. Je suis seule, Jésus, je tremble à cause du froid et de la faim. Je suis aveugle, j’ai perdu la lumière. Le monde n’existe-t-il plus, mon Amour ? Ce ne sont que ténèbres et aveuglement. Ajouter, mon Jésus, à cette vie pénible, la douleur que me cause le départ de mon Père spirituel. Jésus, Jésus, permettez tout, sauf le scandale ; je ne veux pas que vous soyez offensé et bien encore moins dans ce qui me concerne. Pardonnez à tous, pardonnez-moi aussi et accordez-moi votre bénédiction, Jésus.
Sentimentos da alma, 27 février 1942

dimanche 15 février 2009

BULLETIN D'ALEXANDRINA

Le Bulletin d’informations (n° 8-9) de la paroisse de Balasar vient de paraître. Il est bien entendu rédigé en portugais et cette annonce s’adresse donc aux nombreux portugais vivant en France, ainsi qu’à tous ceux qui parlent et lisent cette langue.
On y trouve divers articles très intéressants, dont un écrit par le professeur José Ferreira et intitulé : “La bienheureuse Alexandrina et sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus”, où il démontre avec précision les liens existants entre ces deux âmes de prédilection.
Un autre article très intéressant également, nous parle du Père Mariano Pinho, sj, premier directeur de la Bienheureuse. Cet article est signé par un autre jésuite, le Père Dário Pedroso, Directeur de la revue de l’Apostolat de la Prière au Portugal et grand connaisseur de la bienheureuse Alexandrina.
Un témoignage de notre collègue et amie Yolanda Cazas, du Méxique, témoignage sur le Père Hector Calovi, salésien et vice-postulateur de la cause de la Bienheureuse, décédé le 19 septembre 2008.
En dernière page du même Bulletin, on peut lire le détail de plusieurs grâces obtenues par l’intercession d’Alexandrina de Balasar et les noms de beaucoup d’autres qui en signalent des grâces mais n’en donnent pas le détail.

dimanche 25 janvier 2009

VERTUS HEROÏQUES

VATICAN, 17 janvier 2009 ( VIS). Ce matin, le Saint-Père a reçu Mgr. Angelo Amato, SDB, Préfet de la Congrégation pour les causes des saints et a autorisé la promulgation des décrets suivants, relatifs à:

VERTUS HEROIQUES

– du serviteur de Dieu Juan de Palafox y Mendoza (1600-1659), Evêque d'Osma (Espagne).
– du serviteur de Dieu Robert Spiske (1821-1888), prêtre polonais fondateur des Sœurs de Sainte Edvige.
– de la servante de Dieu Carolina Beltrami (1869-1932), laïque italienne fondatrice des Religieuses immaculées d'Alessandria.
– de la servante de Dieu María de la Inmaculada Concepción (María Isabel) Salvat y Romero (1926-1998), religieuse espagnole, Supérieure générale des Soeurs de la Compagnie de la Croix.
– de la servante de Dieu Liberata Ferrarons y Vives (1803-1842), laïque espagnole du tiers ordre carmélitain.
En outre, lors de l'audience concédée au Cardinal Secrétaire d'Etat le 22 décembre dernier, le Saint-Père a autorisé la promulgation du décret relatif aux vertus héroïques du serviteur de Dieu José Tous y Soler (1811-1871), prêtre espagnol Capucin fondateur des Religieuses de la Mère du divin Pasteur.

Mgr. Angelo Amato, SDB, Préfet de la Congrégation pour les causes des saints.