dimanche 4 septembre 2011

PETITE-MAMAN EMBRASSEZ JESUS POUR MOI

Les hommes ne sont pas pressés...

— “Ton cœur, ma fille, est le palais royal de la royauté divine, c'est le trône plus beau et enchanteur que j'ai rencontré sur terre. C'est le centre attrayant qui attire vers moi les pécheurs. C'est un feu dévorant qui enflamme les cœurs et les âmes assoiffées de mon amour. Que j'aurais aimé que le monde connaisse rapidement la consolation que tu donnes à mon divin Cœur et à celui de ma Mère bénie. Console-nous; donne-nous la plus grande des joies. Aime-nous avec l'amour le plus pur et parfait. Répare les crimes des millions et des millions de pécheurs. Combien tu es magnifique aux yeux de la Très Sainte Trinité !
Ô belle, ô belle, ô amour de l'Amour divin. Regarde ma fille, les hommes ne sont pas pressés de donner la magnificence que Je désire à ma Cause, mais Je suis avec toi. Leur négligence sera punie, la récompense sera le châtiment. Dis, ma fille, dis mon épouse chérie, dis à ton Père spirituel : Mon divin amour pour Lui est de plus en plus grand. Je l'aime, je l'aime vraiment. Je lui donne la grâce d'attirer à Moi les âmes, Je lui donne la grâce de les enflammer de mon divin Amour. Dis-lui que c'est avec douleur, que c'est avec chagrin que J'affirme : Mes châtiments vont continuer sur la Compagnie. Il y a là-bas tant d'âmes qui m'affligent, tant d'âmes qui ne sont pas parfaites comme le veut et l'exige mon divin Cœur. Ils n'ont pas ma charité, ils outragent les âmes. S'ils prêtaient attention à mes menaces, s'ils répondaient à mes demandes, ils n'auraient pas été aussi châtiés. Je veille, Je veille sur ceux qui sont miens. Je veille sur ceux qui m'aiment. Dis, ma fille, dis à ton médecin que sa fidélité à mes grâces, sa fidélité à mes désirs, c'est ma joie. Qu'il soit ferme en s'occupant de ma cause. Je l'ai mis à tes côtés pour te soutenir et te défendre, parce que de cette façon c'est moi qu'il défend. Il pleut des grâces, il pleut des bénédictions sur lui et tous les siens, sur ceux qui sont chers à son cœur. Aie courage, ma bien-aimée, ne te désespères pas dans ton martyre, ne te décourage pas dans ton calvaire; c'est seulement de cette façon que les pécheurs seront sauvés, c'est seulement comme ça que le monde recevra les grâces désirées. Tu vis dans le purgatoire ; la barrière qui t’en sépare, c'est Moi qui l'ai permise. Désormais tu n'es plus dans le monde, tu vis comme si tu ne vivais pas. Ton tourment est inégalable. Jamais Je ne l'ai donné à aucune autre âme. Veux-tu me consoler, ma fille ? Veux-tu continuer dans cette douleur ? ”
— Tout, mon Jésus, tout ce que Vous voudrez. Mon désir est de ne pas vivre sans vous donner consolation un seul moment, mon Jésus. Vivre pour vous consoler, vivre pour vous sauver des âmes, c'est cela mon aspiration.
— “Courage, alors, ma petite fille. Si tu savais le bien que tu vas faire aux âmes. Quand tu sauras le tourment que te fût donné ! Ton esprit est mort pour le monde, ta vie est la vie des âmes du purgatoire, mais tu ne souffres seulement que pour toi. Vite, vite, pour donner à connaître au monde combien elles souffrent ; vite, vite, ce sont les âmes, mes aimées qu'il faut libérer. Reçois l'amour, tout l'amour de ton Jésus, ce sont des caresses célestes.”
Ô ma Petite-Maman, merci beaucoup, ô Petite-Maman, bénissez, embrassez, et priez pour moi Jésus.
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(Bse Alexandrina: Sentiments de l’âme, 4 décembre 1943 - Premier samedi)

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