vendredi 8 juillet 2011

NOUVEAUX EXAMENS MEDICAUX ?

Quelle beauté une âme en état de grâce !

Le lit d'Alexandrina, actuellement.
— “Ma fille, ma fille, quelle beauté une âme en état de grâce ! Quelle beauté, quel enchantement ceux d'une épouse de Jésus ! Jésus est tombé amoureux de son Alexandrina et l'a préparée pour être son tabernacle richissime sur terre. Réjouis-toi ma petite folle, réjouis-toi avec ton Jésus. Que dise le monde ce qu'il voudra, fasse ce qu'il voudra, Jésus est à toi, tout à toi, toi à Lui, toute à Lui. L'aveuglement des disciples de Jésus, et de ceux qui se disent vos amis, me déplaît plus que les crimes des pécheurs. Jésus immole ses victimes pour les sauver. Et ceux qui devraient posséder toujours la lumière divine, ne la veulent pas, ne la recherchent pas,  essayant de jeter par terre les choses les plus sublimes de Jésus, ce qu'il a préparé de plus précieux sur terre, une plus grande gloire pour toi et bénéfices pour les âmes.
Courage, courage, ma petite fille, qui est avec Jésus n'a rien à craindre, qui possède Jésus, possède toute la force. Courage, courage ô mon aimée : ce sont les derniers combats, après cela viendra le ciel.
Dis, ma petite fille, dis à ton Père spirituel que bien que Jésus ne dusse pas autoriser de nouveaux examens, Il les consent maintenant,  ici à l'endroit où Il t'a placée. Ce sont des dures épreuves pour toi et pour lui, mais c'est aussi la plus grande preuve d'amour que Jésus a de sa petite folle et à son directeur par Lui choisi. Dis-lui que Je vous aime et que Je suis avec vous. Dis, ma petite fille, dis à ton médecin qu'il a été le préféré pour accomplir si noble mission, que Je veux qu'il l'accomplisse puissamment, se présentant devant les médecins et devant le monde comme un soldat fort que rien ne redoute. Qu'il soit le guerrier de la cause de Jésus. Je veux que tu ailles de l'avant, que viennent les médecins auprès de toi, mais que viennent avec toute prudence.”
— Ô mon Jésus, et je ne manquerai pas de votre grâce et de votre force divine ?
— “Non, non, ma petite fille chérie, tu peux compter avec ton Jésus et ta petite Maman chérie, qui ne te manqueront pas avec la grâce et la force du ciel.”
— Merci mon Jésus, j'ai confiance en vous, je ne suis que misère .Je veux oublier ce que je suis pour me confier uniquement  à vous.
(Bse Alexandrina de Balasar : Journal spirituel du 1er mai 1943 – Premier Samedi du mois)

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