mercredi 6 juillet 2011

VOUS NE TROMPEZ PAS !

N'aie pas de crainte, tu n'es pas seule...

― “Ma fille, lève les yeux au ciel, aie courage, Jésus te soutiendra. La fin approche. Le combat sera acharné. Ma fille, ma fille, si tu étais aimée par tout le monde, tu ne t'assimilerais à Jésus. Il te reste quelques amis loyaux et forts à la ressemblance de Jésus. Réjouis-toi, aimée ! Que grande chose de t'assimiler à moi ! Ma petite fille, ma petite fille, réjouis-toi, combien après ta mort pleureront leur culpabilité, leurs fautes. Combien après ta mort désireraient te parler, de demander pardon pour t'avoir persécutée et combattue. Ma petite fille, ma petite fille, dis à ton père qu’encore sur terre beaucoup te demanderont pardon. Que ton humilité doit être exaltée. Dis-lui que toutes ces souffrances t'ont purifiée le cœur et l'âme, que tu es plus pure que l’or. Dis-lui que tu devais passer par toutes ces humiliations pour que la cause de Jésus brille comme je veux qu'elle brille. Dis-lui que je l'aime avec passion et que je l'ai couvert de mon divin amour. Ô mon aimée chérie, dis à ton père que sa place au ciel est déjà réservée à coté de la Sainte Trinité. Dis-lui que toute cette lutte sur terre est sur le point de se terminer. As-tu confiance ma fille ?”
Ô mon Jésus, comment puis-je ne pas avoir confiance en vous ? Vous ne trompez pas ! Qui a mis sa confiance en vous et a été trompé ?
Soyez notre force, Jésus, et mettez fin à toutes ces souffrances.
― “Inclines-toi, inclines-toi ma mère bénie, embrasse ta petite fille, mon épouse, et ma crucifiée”.
Ma petite maman, veille sur moi, veille sur mon père, veille sur tous ceux qui me sont chers. Entre Jésus et ma petite maman je suis bien, je ne cours aucun danger.
― “Ma petite fille, dis à ton médecin, affirme lui qu'il restera au ciel à coté de son épouse, entouré de tous ses enfants comme un chœur d'anges ; c’est la récompense de sa fidélité à ma grâce”.
Jésus, petite maman, ne vous séparez jamais de moi !
― “N'aie pas de crainte, tu n'es pas seule. Un jour viendra où le monde entier désirera se mettre à l'abri de ta grâce, de ta pureté, de ton amour pour Jésus”.
Ô Jésus, je suis humiliée, à vos divins pieds, j'ai honte. Mais advienne tout ce que vous désirez et que tout soit fait selon votre parole.
― “Aimée de Jésus, aimée de Marie, aimée de la très Sainte Trinité, aimée de toute la Cour Céleste”.
Ô Jésus, je ne suis qu’un pauvre chiffon où tous peuvent essuyer leurs pieds ; comment pouvez-vous dire de moi tant de choses merveilleuses ?!... Merci beaucoup, mon Amour.
(Alexandrina Maria da Costa : Sentiments de l’âme, 3 avril 1943)

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