mercredi 20 juillet 2011

SENTIMENTS DE L’ÂME

Tu n’as pas la vie de la terre

― “Ma fille, amour, amour, amour. Ton cœur et le mien ne sont qu’un seul cœur ; tu es toute transformée en moi. Je suis ta vie. Tu n'as pas la vie humaine, tu as la vie divine. Tu n'as pas la vie de la terre, tu as la vie du ciel. Ta vie aura toujours des épines, une épine pénétrera une autre épine et ainsi crucifiée à ma ressemblance tu iras au ciel clouée sur la croix par amour pour moi. Demande-moi ma fille, demande tout ce que tu veux par le nom de mon sang divin et au nom des douleurs de ma sainte Mère, tout tu obtiendras.” (18 septembre 1943)

Oh ! comme je me sens si petite !

― “Je suis à la récréation dans mon palais, palais conservé avec les trésors divins. Ton cœur est très riche, un bel ornement pour moi, ma fille. J'ai de la joie avec toi, j'ai de l'allégresse à tes cotés, tu es le jardin parfumé, tu es le jardin décoré avec toutes les fleurs. Et moi j'ai la joie d'être le Seigneur de tout cela ; J'ai la joie de posséder l'arôme de fleurs aussi belles. Le monde ne te connais pas, mon aimée ? Moi je te connais, Jésus te connait. Tu es belle, tu es belle, tu es riche, riche tu seras sur terre et dans le ciel. Celui qui t'appellera par ton nom quand tu seras au ciel, ne t'appellera pas en vain. Tu seras puissante avec le Tout-Puissant. Les paroles de ton Époux Jésus, vont s'accomplir, vont s'accomplir à la lettre, à la lettre, mon aimée. Tes épines se transformeront en roses, et ton martyre en un paradis. Tout, tout, salut pour les pécheurs, consolation pour moi. Le soleil a brillé, la lumière est apparue. Brille maintenant la lumière des humbles, ils triomphent et sont élevés. Ma petite fille, ma petite fille, mon enchantement. Dis à ton petit papa que le feu de mon Cœur divin s'étend sur lui. Ma demeure divine est aussi sa demeure, c'est la fournaise où il habitera pour toujours sur terre et dans le ciel. Je vais par son humanité lui donner le pouvoir d'attirer à moi toutes les âmes, désireuses de me posséder, et celles qui sont loin de mon divin Cœur. C'est moi Jésus qui parle toujours par tes lèvres. Quand il étendra la bénédiction sur mes enfants, c'est moi qui les bénis. Je lui donne tout le pouvoir sur terre pour qu'il embrase les cœurs et les âmes et convertisse les pécheurs. Qu'il espère tout de moi, comme moi de lui je tout reçois. Dis, ma fille, dis à ton médecin, qu'à l'ombre du manteau de ma Mère bénie et à la chaleur des éclairs de mon divin Cœur, il y a son foyer par nous béni. Ce sera le jardin que nous aurons cultivé; Moi et Marie seront les jardiniers. S'il me reste fidèle il aura le foyer plus riche de tout le Portugal. Riche de grâces, riche d'amour, riche pour le ciel. Je te donne tout ce qui est à moi, mon amour, pour que tu donnes tout en mon nom, à ceux qui t'aiment, à ceux qui t'entourent, à ceux qui te soutiennent et protègent. Je te donne tout ce qui est à Moi, pour que toi tu donnes tout à toute l'humanité, de qui je te nomme protectrice.”
Ô mon Jésus, j'ai honte. Ô comme je me sens si petite. Je ne mériterais que l'enfer, je ne suis pas digne de vos grâces. Distribuez Vous-même vos grâces. Prenez mes mains, travaillez avec elles; acceptez tout mon corps, qu'il soit votre instrument; travaillez Jésus n'arrêtez pas. Les âmes se perdent, le monde est en danger.
― “Ma petite fille, ce sont les caresses de ton Jésus et de ta Petite-Maman, accepte-les, reçois notre pouvoir. Tu es toute à nous, tu es toute à nous, tu es ma petite fille, l'épouse de mon Jésus. Reçois de notre tendresse le réconfort pour tout.”
Merci, Merci, ma Petite-Maman ! Merci, Merci, Jésus ! (2 octobre 1943 – Premier samedi)

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